CIRCONSCRIPTIONGRECQUE - 4 Lettres - Mots-Croisés & Mots-Fléchés et Synonymes circonscription grecque — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Cliquez sur un mot pour découvrir sa définition. D'autres définitions intéressantes Circonscription d'un évêque Circonscription du Saint Empire romain germanique circonscription
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Lethéâtre d'Epidaure peut accueillir plus de 14 000 spectateurs. Le théâtre antique d'Epidaure Ce théâtre se trouve dans la région d'Argolide, entre le golfe Saronique et le golfe argolidique.
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Résumé Plan Texte Bibliographie Notes Citation Auteur Résumés Le terme prosôpon » qui signifiait tout d’abord visage » et masque » ne prend que tardivement – à partir du IIe siècle de notre ère – le sens de personne », il apparaît alors comme personne grammaticale. Les analyses de Detienne, de Meyerson et de Vernant ont souligné combien la complexité de la topologie psychologique présente dans les textes littéraires et philosophiques, la prégnance des concepts de psukhè et de daimôn, tout comme la spécificité de l’analyse de l’acte, allaient à l’encontre de l’idée d’un tout unifié de l’individu et d’un rapport réflexif simple à soi-même. Poursuivant deux lignes de recherche indiquées par Mauss, l’article entend montrer les modifications apportées par le stoïcisme impérial, notamment par son injonction à l’unité, et clarifier les caractéristiques conceptuelles qui accompagnent, chez le grammairien grec Apollonius Dyscole, l’émergence de la personne grammaticale. The person in ancient GreeceThe term prosôpon» which originally meant face or mask only acquires the meaning of person at a late date, only from the second century does it appear in the grammatical sense of person. The analyses by Detienne, Meyerson, and Vernant have emphasised how the complexity of the psychological terminology that we find in the texts, the prominence of the concepts psukhè and daimôn as well as the specificity of the analysis of action all went against any idea of a unified individual and of a simple reflexive relation to the self. Following two lines of analysis suggested by Mauss the paper attempts to show the changes brought about by imperial stoicism and makes clear the conceptual characteristics that accompany the emergence of the grammatical person in the work of the greek grammarian Apollonius Dyscolus. Haut de page Texte intégral L’individu contient beaucoup plusde personnes qu’il ne croit."Personne" n’est qu’un accent mis,un résumé de traits et de "qualités". »Friedrich Nietzsche, Fragments posthumes,X, 25 [363]. Prosôpon masque, visage, personne 1 Françoise Frontisi-Ducroux 1995 17 renvoie à Milan Kundera 1990 228. Voir déjà Mauss 1991 ... 2 Voir Mauss 1991, Nédoncelle 1948 et Frontisi-Ducroux 1995 57-63. 3 Elle renvoie pour cela à Sophocle Œdipe roi v. 448, Euripide Iphigénie en Tauride v. 1075 e ... 4 Voir Aristote 1990 III, 1, 662b 19. 5 Traduction de Jean-François Pradeau modifiée par l’auteur. 1Dans son Dictionnaire étymologique de la langue grecque, Pierre Chantraine 1975 donne pour prosôpon différentes significations visage, devant, façade », expression du visage, contenance », masque », personnage d’une pièce de théâtre, caractère », personne ». Il met en rapport métôpon, le front, l’espace entre les deux yeux, qui se dit d’hommes et d’animaux, [de la] façade d’une construction, de remparts […], [du] front d’une armée », et prosôpon, ce qui est face aux yeux » – ce qui est face aux yeux d’autrui », précise-t-il. De visage, prosôpon en vient par synecdoque à désigner la personne » tout entière porteuse du visage Lallot 2004 23. L’acception, ou l’extension, masque » de théâtre voir Aristote 1980 v, 1449a 36 entraîne à son tour celle de personnage » d’un drame, puis d’un récit. Prosôpon a pour équivalent le latin persona, qui renvoie à son tour au masque qui fait résonner personare la voix, avant de désigner le personnage, la personnalité et la personne grammaticale » Lallot 2004 23. Mais plutôt que de personare, persona découlerait de l’étrusque Phersu, qui désigne un démon infernal apparenté par son nom à Perséphone, la souveraine des morts, et à Persée, le maître d’épouvante, détenteurs l’un et l’autre de la tête de la Gorgone »1. Pierre Hadot a montré combien l’introduction des termes persona » et prosôpon » dans les controverses chrétiennes a influé sur leur évolution sémantique, et combien celle du nouveau terme hupostasis » a été décisive Hadot 1973 123-124. Je ne tenterai pas de restituer l’évolution sémantique complexe qui, de la réflexion philosophique aux débats juridiques, a mené jusqu’à la personne2. Ce n’est que tardivement que prosôpon, qui signifie d’abord visage » et masque », prend le sens de personne », à partir du iie siècle avant notre ère, si l’on s’accorde à dater ainsi la Tekhnи Grammatikи attribuée à Denys le Thrace, où il apparaît dans le sens de personne grammaticale ». On ne trouve aux époques archaïque et classique aucun concept de personne – si l’on cherche par là un équivalent à la notion d’un être humain singulier, conscient de soi, défini par la conscience de sa singularité et de son unicité, et autonome. Là où le moderne parle de personne, le grec parle d’être humain anthrôpos en grec et homo en latin. Il semble donc qu’il n’y ait pas place en Grèce ancienne pour un débat qui sépare être humain et personne Gill 1990 7. Marcel Mauss a suffisamment contribué à défaire le présupposé que l’idée de personne était naturelle » ou innée », précise au fond de la conscience » de tout le monde », tout équipée au fond de la morale qui s’en déduit » Mauss 1991 333, et à nous engager dans une vue plus précise » de son à la tradition presque unanime qui accorde au masque un rôle décisif dans l’évolution du terme prosôpon vers la notion de personne, Françoise Frontisi-Ducroux 1995 60 insiste sur le fait que le prosôpon équivaut très tôt а l’individu »3. Si, pour les Latins, le masque est une puissance surgie du séjour des ténèbres, de l’invisible et de l’informe, du monde où il n’y a plus de visages» » ibid., le prosôpon, à la fois masque et visage4, est, comme l’écrit Vernant, ce qu’on présente de soi au regard d’autrui, cette figure individualisée offerte aux yeux de quiconque vous aborde de front et qui est comme le sceau de votre identité » Vernant 1996a 118. Le déplacement du visage à l’âme qu’opère Socrate dans l’Alcibiade est d’autant plus frappant Ne convient-il pas […] de penser que, lorsque toi et moi nous conversons ensemble, en usant de discours, c’est l’âme qui s’adresse à l’âme ? […] Lorsque Socrate s’entretient avec Alcibiade au moyen du discours, ce n’est pas à ton visage, comme il semble, qu’il adresse ses discours, mais à Alcibiade lui-même ; or ceci c’est l’âme »5 Platon 1999 130d-131a. Histoires d’âme et de corps 6 La notion de corps ne pouvait donc fonder la personnalité”, puisqu’elle n’était pas découverte » ... 7 En cela, je suis en parfait accord avec Carine Mercier 2008. 8 Voir Vernant 1973 54, qui renvoie à Maurice Halbwachs 1930 Comme Halbwachs l’a bien vu, l ... 9 Tout comme Maurice Nédoncelle 1948 277, Françoise Frontisi-Ducroux 1995 58 rappelle que, de ... 2Jean-Pierre Vernant 1973 et Marcel Detienne 1973 ont établi qu’on ne pouvait pas parler de personne » aux âges archaïque et classique. Le concept platonicien d’âme lui-même est apparu au terme d’un long cheminement. À l’âge archaïque, particulièrement chez Homère, le terme psukhи », qui allait avoir une fortune considérable sous la signification d’ âme », désignait le souffle qui s’exhale au moment de la mort, qui est l’image eidôlon, comme le fantôme, de l’individu. Le terme sôma », qui devait connaître une célébrité corrélative comme corps », ne désignait que le cadavre, aucun terme ne venant rassembler, du vivant de l’individu, la pluralité ouverte de ses fonctions et de ses modifications organiques, psychologiques, affectives, qui ne pouvait comme telle être le support d’un moi » Detienne 1973 48. Pour Vernant et Detienne, quelque chose de la personne s’ébauche » lorsque s’établit l’opposition entre âme et corps, dans le contexte de sectes spirituelles, comme le pythagorisme celles-ci développent, en marge du culte public, des pratiques d’ascèse visant, par certains exercices respiratoires, comme la contraction du diaphragme, à rassembler une instance séparée d’autres fonctions considérées comme impures, à réaliser l’unité de la psukhи ; le Phédon de Platon garde une étroite parenté avec ces pratiques. Dans le même temps où l’âme bénéficie » ibid. 47 de ce mouvement d’unification, quelque chose comme le corps se trouve déterminé et aussitôt déprécié ibid. 49. D’autres exercices, des exercices de mémoire, ont pu permettre une histoire de la psukhи, qui ne soit pas de l’ordre d’un passé individuel, bien plutôt d’une âme immortelle, non personnelle, permanente dans la série des incarnations successives Vernant 1959 28. De fait, lorsque Socrate dit ne pas s’adresser au visage d’Alcibiade mais à l’âme, ce n’est pas à proprement parler à son âme qu’il s’adresse, mais à l’âme en lui Vernant 1996b 227-228. Cette âme est d’autant moins personnelle qu’elle n’est pas attachée à un seul être vivant le nombre des âmes étant fixé une fois pour toutes, chaque homme trouve à sa naissance une âme qui lui préexistait, qui ne lui est aucunement particulière » et qui, après sa mort, se réincarnera dans un autre homme ou un autre vivant. Detienne et Vernant ont montré le rôle fondamental du daimôn dans l’instauration de l’opposition âme / corps. C’est à partir du moment où certains sens du démonique se sont trouvés rapprochés de certains sens de psukhи que l’âme a acquis les contours conceptuels que nous lui connaissons. Encore faut-il souligner la topologie complexe associée à cette instauration Devenue dans l’homme cet être démonique avec lequel le sujet cherche à coïncider, la psukhи présente toute la consistance d’un objet, d’un être réel pouvant exister au-dehors, d’un double» ; mais elle fait en même temps partie de l’homme lui-même, elle définit en lui une dimension nouvelle qu’il lui faut conquérir et approfondir sans cesse en s’imposant une dure discipline spirituelle. À la fois réalité objective et expérience vécue dans l’intimité du sujet, la psukhи constitue le premier cadre permettant au monde intérieur de s’objectiver et de prendre forme, un point de départ pour l’édification progressive des structures du moi » Vernant 1973 93.Certains termes, tels que ébauche » ou découverte »6, doivent être discutés, comme la formulation selon laquelle, à la fois réalité objective et expérience vécue dans l’intimité du sujet, la psukhи constitue […] un point de départ pour l’édification progressive des structures du moi ». Toute forme de soumission à l’idée d’une préexistence des objets conceptuels que sous-entend le terme découverte » ou à une sorte de téléologie de fait, justifiée par l’histoire telle qu’elle s’est déroulée ébauche » ou édification progressive », est discutable. Meyerson l’a nettement exprimé M. Vernant nous a montré de façon frappante les différents chemins par lesquels la pensée religieuse grecque aurait pu approcher notre conception de la personne l’historien d’aujourd’hui pourrait avoir l’impression qu’elle s’en était effectivement rapprochée, pour reculer ensuite. En fait, les Grecs n’ont pas cherché à construire la notion de personne, leur système d’idées et de valeurs était autrement orienté»7 Meyerson 1973a 43. Le plus étrange pour nous est que les lignes conceptuelles que viendra réinvestir la problématisation de la personne se situent au niveau du démonique, de cette province de la pensée religieuse qui se caractérise par l’indéfini » Detienne 1973 51 L’âme, étant divine, ne saurait exprimer la singularité des sujets humains ; par destination, elle déborde, elle dépasse l’individuel » ; appartenant à la catégorie du démonique », elle appartient, paradoxalement, à ce qu’il y a dans le divin de moins individualisé, de moins personnel» » Vernant 1973 36. L’âme est devenue dans l’homme l’être démonique avec lequel le sujet cherche à s’identifier et fait partie de l’homme lui-même » le paradoxe qu’énonce Vernant est l’indice d’une complexité qui excède ici encore notre représentation de la personne. Présenter un intellect noûs séparable à l’intérieur de l’âme humaine va à l’encontre d’une image moderne prédominante de la personne, celle d’une unité psychologique et psychophysique qui est valorisée en tant que tout unifié » Gill 1991 16. Le concept de personne, s’il suppose l’idée d’un tout unifié de l’individu et d’un rapport en soi-même qui est exclusivement un rapport à soi-même, ne saurait qualifier une situation où l’individu abrite en lui-même une autre instance, comme l’intellect ou le démon intérieur8. On peut bien noter la manière dont Aristote, dans les Catégories, circonscrit l’individu sensible singulier, le tode ti9, et le définit comme substance première. Cette circonscription logique et physique de la singularité n’a pas de corrélat sur le plan éthique, à proportion de la tâche normative qui y domine l’important réside dans le fait de chercher à s’identifier à », de viser quelque chose ». Le héros n’est pas une personne 10 Voir Homère 2004 II, 372 et XV, 531. 3Vernant a montré que les dieux grecs […] sont des pouvoirs, des puissances, non des personnes». Leur figuration témoigne de leur force, de leur excellence en tant que grands pouvoirs non limités. Elle n’a pas pour objet de circonscrire, d’individualiser leurs attributs » Meyerson 1973b 474-475. Le héros peut-il, par son individualité, constituer une objection au constat d’absence de la personne ? Meyerson a souligné combien pour nous, tout naturellement l’action suppose l’agent, et l’agent implique la personne ; l’agent est en quelque sorte extérieur à l’action ; la qualité d’agent est un attribut important de la personne et réciproquement ». Il précise encore que c’est l’action qui intéresse » la pensée grecque et la pensée indienne anciennes elles n’ont pas tendance à individualiser l’agent, il est intérieur» à l’action » ibid. 43. Ainsi, les héros […] ne sont pas les auteurs de leurs exploits. Ils sont ces exploits mêmes » ibid. 475. Vernant le note d’une autre manière les exploits des héros valent en eux-mêmes et pour eux-mêmes, indépendamment en quelque sorte de celui qui les accomplit. […] L’exploit n’est pas la mise en œuvre d’une vertu personnelle, mais le signe d’une grâce divine, la manifestation d’une assistance surnaturelle. La légende héroïque ne dit pas l’homme agent responsable, au centre de ses actes, assumant son destin. Elle définit des types d’exploits, des modèles d’épreuves, où survit le souvenir d’anciennes initiations, et qui stylisent, sous forme d’actes humains exemplaires, les conditions permettant d’acquérir des qualifications religieuses, des prérogatives sociales exceptionnelles » Vernant 1973 34-35. Vernant est formel Rien dans tout cela qui évoque, même de loin, la personne. »Pour qu’apparaisse quelque chose comme la personne, la problématisation de l’acte devra séparer l’agent de l’acte jusqu’à l’envisager comme auteur de son acte. Mais il faudra que soit également démentie une caractéristique, commune à la littérature et à la philosophie grecques dans une large extension, qui rejoint le rôle important que le démon et le démonique ont joué dans l’établissement du concept d’âme comme dans l’écart par rapport à un sujet intérieurement homogène. Je développerai volontiers l’hypothèse selon laquelle la théorie de la causalité multiple, récurrente dans la philosophie grecque, trouve sa provenance dans la permanence d’un schème d’analyse causale hérité du polythéisme où l’être humain engagé dans une action ou une situation ne prétend jamais être agent exclusif de l’action ou de la situation dans lesquelles il se trouve engagé – ce que Catherine Darbo-Peschanski 2008 appelle chez Homère l’acte réparti ». Plutarque l’exprime au plus serré Homère aussi témoigne en ma faveur10, qui admet que rien ne s’accomplit, pour ainsi dire, par l’effet d’une cause sans un dieu» » Plutarque 2006 22, 405A. Un rapport immédiat à l’altérité, le pli vers l’extérieur » 4Françoise Frontisi-Ducroux a montré combien, des trois fonctions qui, selon Henry Pernet 1988, définissent le masque, représentation, identification, dissimulation, seules les deux premières sont présentes dans le prosôpon grec Frontisi-Ducroux 1995 17. Le visage lui-même ne dissimule rien », il exprime et révèle » Il n’est pas comme le nôtre cette enveloppe de peau qui préserve, derrière la clôture des paupières, les secrets de la vie intérieure. » Les Grecs archaïques et classiques ont bien une expérience d’eux-mêmes, mais c’est celle, autrement organisée que la nôtre », d’un champ ouvert de forces multiples », et non d’un moi délimité ou unifié », une expérience orientée vers le dehors, non vers le dedans. […] Il n’y a pas d’introspection. Le sujet ne constitue pas un monde intérieur clos, dans lequel il doit pénétrer pour […] se découvrir. Le sujet est extraverti. De même que l’œil ne se voit pas lui-même, l’individu pour s’appréhender regarde vers l’ailleurs, au-dehors » Vernant 1996b 224-225. C’est cette orientation vers le dehors et le rapport particulier à l’altérité qu’elle enveloppe qui permettent d’expliquer que les manières grecques n’évoquent que complexité et paradoxe si on compare ce qu’elles décrivent à l’idée, communément admise et présupposée, d’un sujet clos sur soi, assuré de lui-même par la médiation de la conscience qu’il a de lui-même, l’intériorité venant dire cette alliance entre le fait et le lieu, tous deux privés, de la conscience et de la certitude de sous le masque » n’est pas attestée en grec, et sur la peinture des vases attiques le masque en place n’est signalé sur le visage par aucune ligne de démarcation Frontisi-Ducroux 1995 40-41 le visage de l’acteur n’existe pas, l’acteur est désormais le personnage qu’il incarne. Il n’y a pas de mélange entre une identité propre et une identité empruntée l’une succède à l’autre, l’acteur ne fait pas un avec son personnage, pas plus que le possédé ne fait un avec le dieu qui l’envahit dans l’enthousiasme. Il s’agit d’une perméabilité, d’un rapport immédiat à l’altérité, et de la possibilité pour la singularité d’être suspendue, à la manière dont le masque peut suspendre la visibilité du visage. Jean Sainte-Fare Garnot remarquait ainsi que la pensée égyptienne antique admet comme une chose toute naturelle qu’on peut être soi et autre chose que soi. Cette façon de penser conduit à une notion de personne bien différente de notre représentation actuelle » Meyerson 1973a 40. Les modèles de l’action et de la vie engagent d’emblée l’altérité. Cette formulation centre, à tort, l’action et la vie sur un seul, une seule personne – les parenthèses indiquent que je n’introduis pas ici le terme de personne comme un concept, mais comme un substantif d’accompagnement, ce qu’il a été longtemps voir Hadot 1973 127 –, et non sur un collectif. Ce qui est, c’est le collectif, et parler d’un seul, par exemple de soi-même, signifie prélever sur le collectif un point de vue unique supporté par un seul corps et nommé par un nom ou un faisceau singulier de noms. L’altérité ne s’entend pas comme le complémentaire d’un moi ou d’un soi, ce qui condamne l’usage conceptuel de ces pronoms personnels dans ces contextes le collectif est un tissu de relations. Les modifications apportées par le stoïcisme 11 Voir la manière dont Gill 2002 11-12 oppose la conception qu’il nomme subjective-individualis ... 12 Voir Mauss 1991 355-356 et Gourinat 2005 114-120. 13 Pour ce détachement caractéristique, voir Mauss 1991 340. 14 Detienne renvoyait ainsi à l’intervention de Vernant. 5Que nous ayons à l’intérieur de nous une âme démonique indique que nous sommes liés à la mystérieuse puissance de vie qui anime et met en mouvement la nature entière » Vernant 1973 37. On n’a donc pas affaire à un individu singulier, dans ce qu’il a d’irremplaçable et d’unique, ni non plus [à] l’homme dans ce qui le distingue du reste de la nature » ibid. ; cette problématisation est orientée, au contraire, vers la recherche d’une coïncidence, d’une fusion des particuliers avec le tout » ibid.. Ainsi, jusque dans les sectes en marge du culte officiel où se décide la notion d’âme, ce qui domine en dernière instance n’est pas une affirmation de soi comme valeur singulière », mais le retour à un ordre, distinct de l’ordre social, en s’identifiant, autant qu’il est possible, avec le divin » voir Platon 1994 176a.Le stoïcisme poursuit cette aspiration du sujet individuel à se fondre dans le tout, à se réintégrer dans l’ordre cosmique général » Vernant 1996b 228. Mais il modifie l’insertion cosmique tant en substituant à une phusis démonique une phusis intégralement rationnelle qu’en envisageant la nature rationnelle singulière de l’individu humain, lui-même intégralement naturel, comme la condition active de son intégration au cosmos11 pour la qualité propre » qui, dans le stoïcisme, définit l’individu physique singulier et que signifie son nom, il ne s’agit pas de se fondre dans le tout », mais de tenir sa place active dans l’économie de la nature qui est aussi destin. Chez Épictète, cette nature rationnelle singulière se dit également prohairesis, et celle-ci joue un rôle important dans la délimitation de la notion de personne, quand la réciprocité constitutive et la topologie complexe, liée au rôle du démonique dans l’histoire qui a fondé l’âme, dessinaient un sujet ouvert, d’emblée inscrit dans la relation, quand rien dans l’analyse de l’acte n’isolait un agent séparé. Le terme perigraphи délimitation » ou circonscription » a d’ailleurs été l’une des premières expressions qui ont servi à décrire ce qui a été ensuite appelé personne » Daniélou 1973 115. Le stoïcisme impérial en vient, avant la consolidation chrétienne, à servir cette délimitation en reprenant l’opposition platonicienne entre âme et corps et en durcissant l’opposition entre intérieur et extérieur qui est liée à elle. En découle une circonscription de l’individu sur sa prohairesis, sa faculté de choix », don divin parcelle en nous du dieu qui est logos, elle est elle-même rationalité. Certains traducteurs d’Épictète n’ont pas hésité à traduire prohairesis par personne », ce que facilite leur commun caractère d’inaliénabilité. Lorsque prosôpon apparaît dans le stoïcisme impérial, il renvoie en revanche aux multiples rôles que nous pouvons jouer, grâce à la liberté que nous donne notre prohairesis, grâce à la plasticité que nous donne notre hegemonikon C’est par une décision volontaire que nous adoptons le rôle que nous prétendons jouer » Cicéron 1974 I, 115 stoïcisme développe, contre les partitions précédentes, un monisme psychologique qui exalte la partie dominante » de l’âme. Or cet hegemonikon finit par valoir comme objet d’identification du que suis-je ? », sous-entendant un ce que je peux être » et un ce qu’il est bien que je sois » en un simple je suis ». L’émergence d’un trait de la personne résiderait dans cette modification du rapport à l’identité d’une identité recherchée, dominée par le normatif, à un ancrage dans une identité Es-tu donc un meuble, toi ? Non, mais une prohairesis » Épictète 1993 IV, 5, 6. Or cet ancrage lui-même doit être motivé. Pour Pierre Hadot, c’est avec Augustin que l’homme se sépare du cosmos, s’identifie à son âme, commence à avoir en soi non plus un Il», mais un Je» » Hadot 1973 133 ; renvoie à Groethuysen 1980 114-122. Cette séparation est préparée lorsque Marc Aurèle présente l’hegemonikon comme le point d’ancrage qui fait radeau quand la providence cosmique est menacée par l’atomisme Ildefonse 2004 60-62. Peut-être la délimitation de la qualité propre faisait-elle d’emblée séparation13, alors même que tout le système stoïcien la démentait avec elle, et surtout avec la toute-présence du logos dont elle n’est qu’un des effets, se serait trouvée défaite l’emprise des valeurs religieuses qui a[vait] empêché la construction de la notion du corps, et a[vait] donc empêché de délimiter la personne, laquelle se continuait, en quelque sorte, dans la nature», la phusis ancienne sans contours, la personne» ne pouvait se fixer, et donc se séparer du monde mythique » Detienne 1973 4714. Elle le pouvait, dès lors que la phusis devenait intégralement rationnelle, le logos détacheur se substituant à la continuité de la nature démonique. L’affaire est complexe. Lorsque Marc Aurèle décompose ce qu’il est – un peu de chair, un petit souffle et la partie dominante » Marc Aurèle 1993 II, 2 –, il met en évidence qu’il n’est pas seulement l’hegemonikon. Dire que je suis ou que j’ai l’hegemonikon, c’est normalement dire seulement que j’ai une possibilité plastique de transformation, condition psychologique et pragmatique de toute visée normative. Où se trouvent moi» et mien», il est nécessaire que là penche l’être vivant ; si c’est dans la chair, c’est là qu’est le maître ; si c’est dans la faculté de choix, c’est là qu’il est ; si c’est dans les choses extérieures, c’est là qu’il est ; si donc je suis moi là où est ma faculté de choix, c’est ainsi seulement que je serai l’ami, le fils et le père que je dois être » Épictète 1993 II, 22, 30. L’emphase sur cette circonscription, la circonscription sur l’hegemonikon, en viendraient à produire la tendance à une identité stable. Comme le conclut aussi Jean-Baptiste Gourinat, l’unité et la constance des choix constituent donc malgré tout l’unité d’une personne morale». Mais la prohairesis elle-même n’est pas une personne morale» c’est une faculté de choisir, qui doit s’exercer d’une certaine manière, pour constituer l’essence du bien. […] Elle peut avoir la continuité de l’hexis aristotélicienne, ce qui permet de la constituer en personne morale», en déterminant une âme vertueuse. Mais elle ne devient personne morale qu’à cette condition car il n’y a aucune nécessité constitutive que la prohairesis s’exerce avec continuité et régularité dans l’identité à soi, précisément parce qu’elle est par nature en notre pouvoir et non contrainte » Gourinat 2005 124. L’injonction à l’unité 15 De ce que nous avons vu jusqu’à présent, il découle qu’il n’y a probablement pas de concept post ... 6Dans ce jeu entre éthique normative et assignation d’une identité, l’injonction à l’unité a une influence capitale. Dans l’Anthropologie d’un point de vue pragmatique, Kant liait personne et unité. Mauss l’avait signalé pour le christianisme C’est à partir de la notion d’un que la notion de personne est créée – je le crois pour longtemps – à propos des personnes divines, mais du même coup à propos de la personne humaine, substance et mode, corps et âme, conscience et acte » Mauss 1991 358. Cette injonction est déjà présente dans le stoïcisme impérial Alors que nous pouvons nous appliquer à un seul objet, nous attacher à un seul objet, nous préférons nous appliquer à plusieurs, nous enchaîner à plusieurs, à notre corps, à nos biens, à notre frère, à notre ami, à notre enfant, à notre esclave. Ainsi donc, enchaînés à plusieurs objets, nous sommes alourdis et entraînés par eux » Épictète 1993 I, 1, 14. Épictète recommande les investissements de l’unité et de la totalité de l’âme en place de notre versatilité et de notre variété enfantines Tantôt ils jouent aux athlètes, tantôt aux gladiateurs, tantôt ils sonnent de la trompette, puis ils jouent toutes les scènes qu’ils ont vues et qui les ont frappés ; toi aussi, de même, tu es tantôt athlète, tantôt gladiateur, ensuite philosophe et rhéteur, mais, avec ton âme tout entière, rien du tout » ibid. III, 15, 5-6.Cette injonction à l’unité s’articule à l’opposition entre soi-même et les choses extérieures Il faut que tu sois un homme un, soit bon soit mauvais ; tu dois travailler soit à la partie maîtresse de ton âme soit aux choses extérieures, consacrer tes forces au soin soit de l’intérieur soit de l’extérieur, c’est-à-dire prendre l’état de philosophe ou celui de profane » ibid. III, 15, 13. Ici se trouvent rassemblées des valeurs – injonction à l’unité et à la totalité de son âme, opposition entre sa partie dominante propre et les choses extérieures, opposition entre intérieur et extérieur – qui collaborent à la fondation d’un concept dont la circonscription est celle du concept de personne. Y concourt également la manière par laquelle le stoïcien négocie son invulnérabilité — Quelqu’un est mort. En quoi cela te concerne-t-il ? » ibid. III, 18. Par rapport au sujet ouvert des âges archaïque et classique, il s’agit bien ici de couper jusqu’aux fils associatifs par lesquels une singularité se poursuit dans les singularités auxquelles elle est initialement liée, de circonscrire un soi identique à sa prohairesis droite. Christopher Gill, aux fins d’un article intitulé Is there a concept of person in Greek philosophy? », qu’il concluait par la négative15, en venait à considérer la place de la théorie stoïcienne de l’assentiment. De fait, elle rompt avec l’acte réparti, la non-prétention d’un agent à l’exclusivité de son action, le sujet ouvert le moment décisif de l’éthique est celui où un agent scelle lui-même son action, soit qu’il confirme par son assentiment le mouvement de la tendance qu’a immédiatement amorcée une représentation, lui permettant d’aboutir à une action, soit qu’il arrête la tendance première en lui refusant son assentiment. Par l’assentiment, une forme de réflexivité se trouve produite, qui isole l’action comme celle d’un sujet séparé, alors même que la causalité cosmique poursuit la coloration polythéiste interrompue dans l’action singulière elle-même. Le profane dit Malheur à moi à cause de mon enfant, de mon frère, de mon père » ; le philosophe, si tant est qu’il soit contraint de le dire, énonce Malheur à moi » ; et il ajoute après une pause à cause de moi »» ; car rien ne peut empêcher ou léser une faculté de choix [prohairesis] si ce n’est elle-même » Épictète 1993 III, 19, 1-3. La personne apparaît davantage issue du retour sur soi de l’assignation causale qu’elle n’en est la condition. La personne grammaticale 16 De même, la notion grammaticale de personne» que nous employons encore, persona grec prosôpon g ... 17 Voir la manière, concordante, dont Frontisi-Ducroux 1995 62-63 analyse le témoignage de Lucien. 18 Les grammairiens grecs réinterprètent le concept stoïcien de l’assentiment dans le concept d’homolo ... 19 Traduction de Jean Lallot modifiée par l’auteur. 7Mauss avait également indiqué à l’analyse la direction de la personne grammaticale16. C’est tout d’abord en ce sens que prosôpon prend la signification de personne. Lallot souligne combien l’acception dramatique de prosôpon a pesé d’un poids particulier dans l’histoire du mot », à partir de l’exemple du composé prosôpo-poiein, composer en discours direct », c’est-à-dire en faisant parler les personnages eux-mêmes. Ainsi, lorsque les grammairiens adoptent prosôpon pour désigner la personne» grammaticale, ils ont en tête la situation d’interlocution, caractéristique du texte théâtral, qui fait entrer en jeu l’alternance je-tu» c’est dans le face-à-face des personnages que s’enracine la catégorie de la personne» » Lallot 2004 23 ; voir Frontisi-Ducroux 1995 59-63.À la différence d’autres termes comme khronos le temps » ou ptôsis le cas », le terme personne » comme catégorie linguistique » n’apparaît que chez les grammairiens. En revanche, comme le note Jean Lallot, dès les textes grammaticaux les plus anciens et de manière parfaitement stable par la suite, prosôpon est adopté pour décrire à la fois les protagonistes de l’interlocution et les marques, tant pronominales que verbales, de leur inscription dans le matériau linguistique ». Certains datent du iie siècle avant notre ère la fixation du terme prosôpon au sens de personne grammaticale » en raison des définitions du chapitre 13 de la Tekhnи Grammatikи attribuée à Denys le Thrace Il y a trois personnes première, deuxième, troisième. La première, c’est celui de qui vient l’énoncé, la deuxième, celui à qui il est adressé, la troisième, celui dont il parle. »Pour Apollonius Dyscole, au iie siècle de notre ère, on ne peut avoir d’impératif de première personne parce qu’en raison de l’indivision de la personne » on ne peut se donner d’ordre à soi-même Apollonius Dyscole 1997 III, 105. Or l’existence d’une première personne du subjonctif, attestée dans l’usage, amène le grammairien à soutenir que, s’il n’y a pas de première personne de l’impératif, il y a une première personne d’un mode suggestif si l’on ne peut s’interpeller soi-même ni se donner des ordres à soi-même, on peut en revanche s’adresser des suggestions à soi-même. Ces analyses rejoignent des discussions aristotéliciennes sur l’injustice à l’égard de soi-même, et déjà platoniciennes sur le contrôle de soi. Le même Apollonius complétait ainsi les définitions de la Tekhnи La première personne, c’est celui de qui vient l’énoncé parlant de moi qui suis l’allocuteur, la deuxième, celui à qui est adressé l’énoncé parlant de l’allocutaire lui-même, la troisième, celui dont parle l’énoncé et qui n’est ni l’allocuteur ni l’allocutaire» Chœroboscos 1894 II, 20, 22, rapportant la position d’Apollonius. Dans cette correction, l’imbrication énonciation-énoncé est explicite ; il y a première personne quand l’énoncé parle de l’énonciateur-source, deuxième quand il parle de l’allocutaire, troisième quand il parle de quelqu’un d’autre ou d’autre chose ». Lallot s’étonne du fait que cette révision n’en laisse pas moins planer une ambiguïté » sur ce que désigne prosôpon, entre entités extra-linguistiques, personnes» dialoguantes ou non » et entités linguistiques, accidents du verbe fléchi et paradigme pronominal pronoms personnels » cette ambiguïté reste attachée au terme de prosôpon ». Ainsi, les personnes qui prennent part à l’acte [de marcher] se sont distribuées en personnes je marche, tu marches, il / elle marche » Lallot 2004.Or cette coïncidence entre personne de l’énonciation et personne-agent17 se reproduit dans la coïncidence entre diathèse actantielle et diathèse de l’âme ou modalité. Les concepts de personne et de diathèse attestent combien la réflexion grammaticale est sous-tendue par la présupposition d’un monde physique et du rapport particulier que le locuteur entretient avec lui, la situation normative et normale étant celle où un actant énonce lui-même la situation physique dans laquelle il est engagé par rapport à un autre actant du monde physique18, dans la situation la plus traditionnelle, un agent par rapport à un patient. Les deux registres apparaissent dans la définition de la personne La dérivation dans les noms est appelée espèce, le changement [ou passage] dans les verbes et les pronoms est appelé personne. Le terme est approprié en ce qu’il manifeste une deixis corporelle et une disposition mentale » Apollonius Dyscole 1878b 18, 16-17. La personne est inséparable de la variation personnelle. De fait, l’opposé du concept de personne n’est pas l’impersonnel, mais le monopersonnel monoprosôpon. Comme l’a remarqué Françoise Desbordes, le terme grec aprosôpon impersonnel », aussi rare que tardif, pourrait bien n’être que la traduction grecque d’un concept latin, rendu nécessaire par l’existence massive du passif impersonnel latin Desbordes 1991 13. Lorsque Apollonius Dyscole 1997 III, 188 évoque les constructions que les stoïciens caractérisaient comme quasi-accidents » melei/metamelei Truphôni » [ il y a souci pour Tryphon »], qui correspondent à nos tournures impersonnelles, il explique la marginalité des verbes de troisième personne se construisant avec le datif par le fait que les verbes se construisent d’ordinaire avec le seul cas direct, ou admettent un oblique en plus du cas direct. La paraphrase qu’il donne de la tournure rend visible l’économie des signifiés sous-tendant la phrase Le signifié, c’est quelque chose comme melei to philosophein Platôni [le philosopher fait souci à Platon] »19 ibid. III, 188 ; l’absence de cas direct n’est qu’apparente, la tournure admet un cas direct implicite qui est l’action sous-entendue ibid. III, 189.S’il n’y a pas de conceptualisation de l’impersonnel, c’est qu’il est tout d’abord impossible d’échapper à la distribution des personnes – dans les exemples étudiés, il y a troisième personne. Apollonius identifie ailleurs khrи et dei il faut » comme des verbes de troisième personne et justifie leur modification unique » par leur construction avec l’infinitif, qui est monopersonnel » Apollonius Dyscole 1878a 131, 5, et qui, étant de troisième personne, est, pour la personnification, indivisible » ibid. 131, 16. L’infinitif, littéralement le dépourvu de connotation » aparemphaton, s’il ne marque pas la distinction personnelle, n’est pas pour autant dépourvu de personne, il est monopersonnel en tant que nom de l’acte », il est de troisième personne et ne se distribue pas selon la qualité personnelle. Si la propriété de marquer la personne est liée à la possibilité, signalée dans sa définition, de passer d’une personne à l’autre, il y a équivalence entre le fait d’être monopersonnel et celui de ne pas admettre la variation personnelle. La grammaire moderne appelle impersonnelles les tournures sans sujet au nominatif, interprétant cette absence comme une absence d’agent. Or cette absence d’agent est – seconde impossibilité – inenvisageable pour le grammairien la théorie de la causalité, qui sous-tend la diathèse grammaticale, interdit la conceptualisation de l’impersonnel. Les grammairiens grecs, comme les stoïciens, conservent le soubassement d’un monde physique dont l’animal humain, doué de logos, s’attache à rendre compte ils poursuivent le mouvement d’insertion dans le cosmos, dont Vernant et Detienne avaient marqué l’impact sur les différences entre les manières grecques et la personne moderne. Dans le stoïcisme, le logos, l’impersonnel osmique, domine les problématisations physique, logique, psychologique, éthique, politique, et les articule. Dans ce sillage, la coïncidence partagée entre personne et diathèse chez Apollonius atteste une manière de témoigner de sa situation comme celle d’un agent physique dans une situation causale à décrire. Conclusion 20 Mais la notion de personne manquait encore de base métaphysique sûre. Ce fondement, c’est au chri ... 8Dans cette histoire où les analyses antérieures ont si souvent employé la métaphore du pas supplémentaire à franchir, et où tant de pas, de fait, ont dû être croisés, un autre moment décisif, avant même que la pensée chrétienne ait consolidé la donne, ou lui ait assuré, comme dit Mauss, un fondement métaphysique20, a été celui où la singularité rationnelle, mise en place par le stoïcisme et qui anime encore la définition de Boèce – On appelle personne au sens propre une substance individuelle de nature rationnelle » –, s’est trouvée scindée j’entends où, en religion et en philosophie, une singularité humaine a été mise en évidence, et valorisée, indépendamment de sa rationalité. Les stoïciens peuvent bien concevoir le développement moral en termes de première personne » ce processus, qui engage un individu déterminé, n’est pas pour autant essentiellement subjectif, il marque plutôt le mouvement d’une conception subjective de soi-même et du monde vers une vue objective, dans laquelle le caractère limité de la vue précédente se trouve reconnu21. Le tournant, que Vernant situe entre le iiie et le ive siècle de notre ère, dont Augustin est le témoin, lui paraît dépendant de la disparition du modèle de la parité qui faisait les citoyens égaux entre eux et les hommes égaux face aux dieux » et du surgissement du saint homme, de l’homme de Dieu, de l’ascète, de l’anachorète » – de l’importance chez lui de la conscience de soi », de l’ introspection implacable et prolongée » à laquelle il se soumet, pour savoir si ses inclinations et son vouloir sont ou non devenus transparents à la présence divine […]. Une nouvelle forme de l’identité prend corps à ce moment elle définit l’individu humain par ses pensées les plus intimes, ses imaginations secrètes, ses rêves nocturnes, ses pulsions pleines de péché, la présence constante, obsédante, dans son for intérieur, de toutes les formes de tentation. Là se trouve le point de départ de la personne et de l’individu modernes » Vernant 1996b 231. Reste à savoir comment s’opère cette modification du souci de soi » et si la déliaison du rapport de l’individu au cosmos qui a produit l’investissement du sujet sur sa partie dominante en vient aussi bien à détacher la rationalité de la certitude de soi enfin, qui accompagne la personne moderne, n’est pas thématisée comme telle dans l’Antiquité grecque. La conscience de soi n’y est pas réflexive, repli sur soi, enfermement intérieur, face à face avec sa propre personne. […] Jamais je ne pense mon existence à travers la conscience que j’en ai. Ma conscience est toujours accrochée à l’extérieur j’ai conscience de voir tel objet, d’entendre tel son, de souffrir telle douleur. Le monde de l’individu n’a pas pris la forme d’une conscience de soi, d’un univers intérieur définissant, dans son originalité radicale, la personne de chacun. Bernard Groethuysen [1980 61] résume ce statut particulier de la personne antique […] en disant que la conscience de soi est l’appréhension en soi d’un il, pas encore d’un je » Vernant 1996b 226-227. Différentes de l’acte pur de Dieu, qui se pense lui-même, la sensation ou la connaissance de l’homme sont toujours d’un autre » et de soi-même par surcroît » Aristote 1991 Lambda 9, 1074b36. L’âme se saisit donc elle-même en plus, par-dessus le marché si l’on peut dire » Romeyer Dherbey 1999 269. La réflexivité est effet, non-principe, notre sentiment de nous-mêmes est une cosensation de nous-mêmes qui s’ajoute à nos affections Celui qui voit sent qu’il voit, celui qui entend qu’il entend, celui qui marche qu’il marche et de même dans tous les autres cas il y a quelque chose qui sent que nous exerçons une activité, qui sent, par conséquent, si nous sentons, que nous sentons et, si nous pensons, que nous pensons. Mais sentir que nous sentons ou pensons, c’est sentir que nous sommes » Aristote 1994 IX, 9, 1170a, 29-32. Aristote poursuit Car être c’est sentir ou penser. » C’est certainement une défiance introduite dans le rapport à nos sens qui modifiera ce caractère second de notre conscience, supplément immanent à l’exercice de nos sens. C’est bien dans le cadre d’une opposition aux objections sceptiques qu’Épictète exprime cette confiance matricielle dans les sens, cette réflexivité-effet qui dispense d’un sens intime Que toi et moi ne soyons pas les mêmes, je le sais très précisément. Comment ? Jamais, quand je veux avaler quelque chose, je ne le porte à ta bouche, mais à la mienne ; jamais, quand je veux prendre du pain, je ne prends un balai, mais toujours je vais droit au pain comme au but. Et vous-mêmes, qui détruisez les sensations, que faites-vous d’autre ? Lequel d’entre vous, voulant aller au bain, va au moulin ? » Épictète 1993 I, 27 ; voir Fine 2003. 9Notes Asterisques 10* Je remercie vivement François Lissarrague pour l’aide qu’il m’a apportée. Haut de page Bibliographie Apollonius Dyscole, 1878aPerì epirremátôn Traité des adverbes », in Grammatici Graeci recogniti et apparatu critico instructi, vol. II, Apollonii Dyscoli scripta minora, fasc. 1, Lipsiae, Teubner. 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Phersu » lui-même pourrait venir de prosôpon. 2 Voir Mauss 1991, Nédoncelle 1948 et Frontisi-Ducroux 1995 57-63. 3 Elle renvoie pour cela à Sophocle Œdipe roi v. 448, Euripide Iphigénie en Tauride v. 1075 et Aristophane Les Cavaliers v. 396. 4 Voir Aristote 1990 III, 1, 662b 19. 5 Traduction de Jean-François Pradeau modifiée par l’auteur. 6 La notion de corps ne pouvait donc fonder la personnalité”, puisqu’elle n’était pas découverte » Detienne 1973 48. 7 En cela, je suis en parfait accord avec Carine Mercier 2008. 8 Voir Vernant 1973 54, qui renvoie à Maurice Halbwachs 1930 Comme Halbwachs l’a bien vu, l’âme, pour le Grec, ne se confond pas avec ce que nous appelons le sujet psychique individuel. À l’origine "double" du corps, la psukhè devient ensuite […] un "double" spirituel une réalité intérieure à l’homme certes, mais qui lui demeure pourtant étrangère, qui le dépasse, qui ne cesse pas de comporter un élément mystérieux et surnaturel. » 9 Tout comme Maurice Nédoncelle 1948 277, Françoise Frontisi-Ducroux 1995 58 rappelle que, depuis les textes homériques, la notion d’être humain est exprimée par le mot anthrôpos ou par les pronoms indéfinis tis, hekastos, autos, oudeis, soit "quelqu’un, chacun, lui, personne" ». 10 Voir Homère 2004 II, 372 et XV, 531. 11 Voir la manière dont Gill 2002 11-12 oppose la conception qu’il nomme subjective-individualiste » à celle qu’il appelle objective-participante ». 12 Voir Mauss 1991 355-356 et Gourinat 2005 114-120. 13 Pour ce détachement caractéristique, voir Mauss 1991 340. 14 Detienne renvoyait ainsi à l’intervention de Vernant. 15 De ce que nous avons vu jusqu’à présent, il découle qu’il n’y a probablement pas de concept post-cartésien de personne» en philosophie grecque. Mais il y a un concept d’animal rationnel, au moins chez Aristote et les stoïciens » Gill 2002 193 traduction de l’auteur. 16 De même, la notion grammaticale de personne» que nous employons encore, persona grec prosôpon grammairiens, devrait être considérée » Mauss 1991 352, note 1. 17 Voir la manière, concordante, dont Frontisi-Ducroux 1995 62-63 analyse le témoignage de Lucien. 18 Les grammairiens grecs réinterprètent le concept stoïcien de l’assentiment dans le concept d’homologein attester ». Voir Ildefonse 1997 353-358. 19 Traduction de Jean Lallot modifiée par l’auteur. 20 Mais la notion de personne manquait encore de base métaphysique sûre. Ce fondement, c’est au christianisme qu’elle le doit » Mauss 1991 356. Haut de page Pour citer cet article Référence papier Frédérique Ildefonse, La personne en Grèce ancienne* »,Terrain, 52 2009, 64-77. Référence électronique Frédérique Ildefonse, La personne en Grèce ancienne* », Terrain [En ligne], 52 mars 2009, mis en ligne le 10 mars 2012, consulté le 21 août 2022. URL ; DOI de page

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Strasbourg Study days - Geography Geoarchaeology and archaeology of the city of Cádiz, Spain This workshop-seminar organised in Strasbourg will be focusing on the archaeology and geoarchaeology of Cádiz. New sedimentary cores drilled in a marine palaeochannel crossing the city in Antiquity will be discussed. Researchers from the University of Cádiz, the CNRS, the ENGEES, and the University of Strasbourg will be present. Read announcement Montpellier Study days - History Microcosms in the Mediterranean Micro-societies and the challenge of power and representations 16th-21st centuries Cette journée d'étude a pour objectif de revisiter le dialogue entre les hommes et l'espace sous un angle nouveau. Il s’agit de réfléchir à la question du huis clos à partir d'un nombre réduit d'individus, rassemblés par une activité de production ou de loisir des équipages de navires, des ateliers de peintres, des communautés de paysans-pêcheurs, des clients d’une auberge, etc.... Ces microsociétés sont structurées par des rapports de force. Elles permettent d’explorer les interconnaissances et les relations personnelles ayant pu s'installer entre des individus, dans le cadre de leur rapport à un territoire maritime restreint la Méditerranée. La question des pouvoirs sera présente afin de saisir les rapports entre les individus, au sein de structures de production. Cette journée d'étude se focalisera sur des relations horizontales plus ou moins formalisées, afin de saisir les actions des individus dans leurs modalités effectives et leurs pratiques immédiates. Read announcement Tunis Study days - Ethnology, anthropology Uses and misuses of women's causes The case of Tunisia and comparative perspectives Afin d’interroger et de discuter les usages et mésusages des répertoires féministes ainsi que les relations entre les mouvements de femmes et les États dans l’espace méditerranéen, le réseau de recherche Reconfigurations » de la Philipps Universität de Marburg, associé à l’Université de la Manouba ainsi qu’à la Fondation Heinrich Böll de Tunis, organise deux journées d’étude interdisciplinaires à Tunis. Elles réuniront des universitaires investies dans les études de genre et les études féministes, travaillant sur et depuis différentes sociétés méditerranéennes et ayant le désir de mettre en perspectives leurs travaux. Read announcement Poitiers Study days - History Scholarly nomination, popular nomination in administrative districts and other judicial territories Les hommes donnent des noms propres à eux-mêmes, à d’autres êtres vivants qui leur sont le plus familiers les animaux domestiques, à certains objets les épées des chevaliers et enfin aux lieux. Dans le dernier cas, ces noms peuvent être descriptifs, commémoratifs d’un homme ou d’un événement ou invocatoires noms de saints notamment. Ils s’appliquent à l’origine à un lieu ponctuel » habitat ou élément bien caractérisé de l’environnement, en suivant des processus de nomination dont les acteurs nous échappent le plus souvent ; l’usage pesant d’un poids considérable dans l’emploi de ces toponymes, il est probable que ce sont les usagers eux-mêmes qui jouent un rôle déterminant, sinon dans le choix initial, au moins dans la perpétuation des noms. Read announcement Pau Study days - Ethnology, anthropology L'espace dans l'Antiquité Utilisation, fonction et représentation L’espace est un thème permanent de la littérature antique. Tour à tour scruté, analysé, chanté, décrit, fragmenté, recherché, convoité, imaginé, utilisé ou délaissé, il s’impose comme préoccupation partagée – de l’habitant le plus humble à l’intellectuel le plus illustre. Les écrits antiques s’intéressent à l’action et à la conception, autrement dit aux expériences et aux représentations de l’espace ; ils nous invitent à un véritable voyage au sein des mentalités antiques. Car c’est bien d’une ouverture de nature anthropologique qu’il sera question. De plus, l’utilisation de l’espace explique et dévoile sa fonction ; et cela nous offre l’occasion d’approcher ce que l’homme antique a en tête lorsqu’il opte pour telle ou telle représentation de l’espace ou quand il cherche à faire l’expérience de nouveaux espaces, révélant dans le même mouvement les valeurs, le mode de vie, les croyances ou les besoins des ces différentes civilisations. Read announcement Rabat Study days - History Analysing the spaces of transition. Interdisciplinary dialogue around the Strait of Gibraltar L'objectif de ce séminaire, dans le cadre du programme de recherches le détroit de Gibraltar aux époques antique et médiévale » financé par l'ANR, est de munir le programme d'un cadre conceptuel rigoureux, qui sera particulièrement utile dans la perspective de la rédaction d'un ouvrage de synthèse. L'implication du Centre Jacques Berque, en tant qu'institution partenaire du programme, est particulièrement judicieuse pour la réalisation de ce séminaire, puisqu'elle permettra aux spécialistes de diverses sciences humaines associés au CJB de proposer des approches et des concepts à portée générale à des historiens, que leur pointillisme écarte parfois de ces schémas opératoires ; à l'inverse, les difficultés heuristiques des historiens doivent les conduire à se réapproprier les systèmes explicatifs issus des sciences humaines voisines pour les transposer efficacement à l'analyse des sociétés du passé. Read announcement Istanbul Study days - Urban studies Metropolitan energy policies the case of the Turkish cities Call for paper for a Seminar at the French Institute of Anatolian Studies IFEA, co-organized by Eric Verdeil Jean Moulin University in Lyon - UMR Environment City Corporation and Jean-François Pérouse Galatasaray University and IFEA. The report Energy and Urban Innovation 2010 by the World Energy Council underlines the fundamental role of cities in the energy transition and the interlocking of several series of actions, related to technology, economy and policy. It appears that the political and social practices are a major issue and justify an increased contribution of social sciences to the analysis of the implementation of these new policies. The seminar intends to address these issues in the case of large Turkish cities. Read announcement La Plaine-Saint-Denis Study days - Urban studies Urban Heritage Stakeholders and their Conflictual Memories and Representations France, Romania, Turkey First Workshop Governance in policies and practicies concerning Urban heritage Ce cycle de rencontres scientifiques vise à approcher la question des acteurs du patrimoine urbain au sens large et au-delà des monuments classés ou historiques et celle des conflits de mémoire que la patrimonialisation engendre. Dans une perspective assez généraliste et introductive, cette première journée sera l’occasion de revenir sur la question de la gouvernance dans les trois contextes aux histoires, cultures, et gestions patrimoniales différentes, mais soumis à des injonctions Europe, Unesco de bonne gouvernance » et de participation ». Read announcement Paris Study days - History Les chemins de l’industrialisation en France et en Espagne XVIIIe-XXIe siècle Les PME et le développement des territoires L’objet de la journée d’études sera de confronter les approches historiques françaises et espagnoles autour de la question des PME et des territoires, des systèmes productifs localisés et des chemins de l’industrialisation. Des contributions portant sur des exemples espagnols, des comparaisons franco-espagnoles ou des relations transnationales entre les deux pays sont attendues. Read announcement Aix-en-Provence Study days - Europe Les îles de la Grèce dans la mondialisation À l’égal de la plage caraïbe et de ses cocotiers, l’image de l’île grecque constitue aujourd’hui l’une des représentations stéréotypées du dépaysement et des vacances dans le monde entier. L’invention de ce cliché est déjà ancienne et les conditions qui ont présidé à sa formation doivent être cherchées tant dans le philhellénisme européen du XIXe siècle que dans la quête d’authenticité des sociétés traditionnelles au XXe siècle. Pourtant, la vie des archipels de la Grèce contemporaine, comme celle de l’ensemble des îles de la Méditerranée, ne se résume pas à ces quelques images. Read announcement Tours Study days - Urban studies Villes, bourgs et villages des actes de nouvelle fondation en situation fasciste » Les transformations d’un modèle dans le temps et dans l’espace quelles dynamiques et quel rôle pour les nouvelles fondations » dans l’après-guerre ? Italie, Libye et Portugal Le sujet spécifique de cette journée d'étude est celui des nouvelles implantations que les régimes fascistes ont réalisé pour coloniser ex-nihilo des parties de leurs pays et des leurs colonies. Il s’agit aussi bien de villages que de bourgs que de véritables villes nouvelles, l’ensemble caractérisé par un acte de naissance unique et multiple une nouvelle fondation. Le caractère matériel de ces bourgs, et des mailles territoriales qu’ils organisent parfois, permet aujourd’hui une lecture patrimoniale des paysages culturels qui ont produit – ouverts et fermés, valorisés et cachés ou démolis. Les domaines géographiques de ce thème de recherche sont nombreux et découlent de l’expérience fasciste italienne, pour atteindre la péninsule ibérique. Cette journée d’étude vise le transfert vers les îles italiennes Sicile et Sardaigne, la Libye et le Portugal. Read announcement
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AÏNOUS Dans le chapitre "Les origines" … Vivant en pays japonais, ils ont, depuis le xi e siècle, peu à peu adopté le mode de vie nippon malgré d'anciennes hostilités. En fait, leur nombre était jadis appréciable et ils occupaient une bonne moitié du Japon. Mais ils furent peu à peu refoulés vers le nord, surtout depuis la réforme de Taika milieu du vii e siècle, la cour envoyant des troupes et établissant des retranchements dans les […] Lire la suiteLes médias de la recherche JAPON, histoire, des origines à 1192 » BOUDDHISME Histoire L'expansionÉcrit par Jean NAUDOU • 3 116 mots • 4 médias Dans le chapitre "En Corée et au Japon" … La Corée était au iv e siècle de notre ère morcelée en plusieurs royaumes, dont les principaux sont le Ko-kou-rye au nord-ouest, le Paik-tchei au sud-ouest, et le Sillā au sud-est. En 372, le roi des Jin Shǎnxi envoya le bonze Sunde avec des textes et des images à Ko-kou-rye. Douze ans plus tard, c'était au tour du Paik-tchei d'être évangélisé. Une cinquantaine d'années plus tard, Sillā reçut à […] Lire la suiteDÉBUT DU DHARMA AU JAPONÉcrit par François MACÉ • 218 mots L'arrivée officielle du bouddhisme au Japon aurait eu lieu en 552, selon le Nihon shoki , première histoire officielle du Japon. Une autre source, le Gankōji engi , donne la date de 538. Cette arrivée correspondrait à l'envoi, par le roi Syöng-Myöng du royaume coréen de Paekche, d'une statue du Bouddha et de sutras, à l'empereur du Japon, Kinmei. Le bouddhisme est alors avant tout considéré comme […] Lire la suiteDŌKYŌ mort en 772Écrit par Francine HÉRAIL • 278 mots Il semble que Dōkyō ait appartenu à une famille de très petits fonctionnaires, peut-être descendants de Mononobe no Moriya. Né sans doute au début du viii e siècle, il se fait moine, mène une vie d'ascète mais étudie aussi les doctrines de la secte Hossō. Sa réputation lui vaut d'être appelé auprès de Kōken-tennō, l'impératrice qui vient d'abdiquer. Il la soigne par des incantations et s'attire s […] Lire la suiteFUJIWARA NO MICHINAGA 966-1027Écrit par Francine HÉRAIL • 658 mots C'est à sa naissance — et au hasard — que Michinaga doit d'arriver au premier rang et de présider à l'apogée de la civilisation du Japon antique. Il est en effet le fils du grand chancelier Kaneie, et ses deux frères aînés, Michitaka et Michikane, qui avaient succédé à leur père, sont morts prématurément. L'empereur, sur le conseil de sa mère, sœur de Michinaga, lui accorde en 995 la charge d'exam […] Lire la suiteFUJIWARA NO MOTOTSUNE 836-891Écrit par Francine HÉRAIL • 249 mots Chef de la maison Fujiwara à la suite de son oncle Yoshifusa qui l'adopte comme héritier. Créant un précédent, Fujiwara no Mototsune dote sa famille, qui possédait déjà le privilège de fournir les mères des princes héritiers et les régents pendant la minorité des empereurs, de celui de revêtir la charge de grand chancelier kampaku qu'il fait créer pour lui. Ministre en 872, régent en 876, mini […] Lire la suiteFUJIWARA NO YOSHIFUSA 804-872Écrit par Francine HÉRAIL • 188 mots Deuxième fils de Fuyutsugu de la branche dite du Nord de la maison Fujiwara, Yoshifusa pose les bases qui font la fortune de ses descendants premier de sa famille, depuis le transfert de la capitale de Nara à Kyōto, à être revêtu de la charge de ministre des Affaires suprêmes de son vivant 857, premier à porter le titre de régent sesshō pendant la minorité de l'empereur Seiwa 858, premie […] Lire la suiteGO-SHIRAKAWA-TENNŌ 1127-1192 empereur du Japon 1155-1158Écrit par Universalis • 342 mots Empereur du Japon 1155-1158, né le 18 octobre 1127 à Kyōto, mort le 26 avril 1192 à Kyōto. Go-Shirakawa-tennō, ou Go-Shirikawa tennō signifie empereur, dont le nom personnel est Masahito, accède au trône en 1155, lorsque son frère l'empereur Konoe 1139-1155, règne 1142-1155 meurt. Un an plus tard, au décès de son père, l'empereur retiré Toba 1103-1156, règne 1107-1123, son troisième frè […] Lire la suiteHEIAN ÉPOQUE DE 794-1192Écrit par Pascal BURESI • 212 mots En 794, l'empereur Kammu 781-806 transfère la capitale de son empire à Heian-kyo actuelle Kyōto pour échapper à l'emprise croissante des temples bouddhiques de Nara. Dans un premier temps, les influences chinoises qui dominaient l'époque antérieure, dite de Nara 710-794, continuent d'être fortes elles se traduisent en particulier par le plan en damier de la cité nouvelle et par l'atmosphèr […] Lire la suiteHEIKE MONOGATARI anonyme - Fiche de lectureÉcrit par Florence BRAUNSTEIN • 846 mots Dans le chapitre "Une chronique guerrière" … Le Heike Monogatari relate l'ascension et la chute de la maison des Taira. Jusqu'alors dominée par le clan Fujiwara, qui abusait du pouvoir et multipliait à son seul profit les emplois et sinécures, la vie politique bascule au profit des Taira avec Taira No Kiyomori, favori impérial, au début du xii e siècle. Devenu Premier ministre, il écarte peu à peu des responsabilités tous les Fujiwara, qui […] Lire la suiteHŌJŌ TOKIMASA 1138-1205Écrit par Francine HÉRAIL • 198 mots Sa famille, installée au lieu-dit Hōjō dans la province japonaise d'Izu, aurait appartenu au clan Taira ; c'est pourquoi Tokimasa reçoit en 1159 la mission de garder Minamoto no Yoritomo exilé dans l'Est. Cependant, quand ce dernier prend la tête de la révolte contre les Taira, il le seconde, lui donne sa fille en mariage et participe à l'organisation du gouvernement militaire bakufu de Kamaku […] Lire la suiteIMPRIMERIEÉcrit par Isabelle ANTONUTTI, Jean-Pierre DRÈGE, Henri-Jean MARTIN, Universalis • 14 492 mots • 3 médias Dans le chapitre "L'Extrême-Orient" … Il est encore fréquent en Occident d'attribuer à Gutenberg l'invention de l'imprimerie, vers le milieu du xv e siècle. Cette opinion, fortement ancrée dans les esprits et les écrits, n'est guère partagée en Asie où les premiers textes reproduits par xylographie – impression de feuillets entiers à l'aide de planches gravées – l'ont été plus de six siècles auparavant et où les premières impression […] Lire la suiteINSTAURATION DU SHOGUNAT, JAPONÉcrit par Pascal BURESI • 229 mots • 1 média En 1192, Yoritomo, le chef du clan des Minamoto fondé au ix e siècle par un prince de sang impérial, reçoit le titre de sei-i-tai-shogun , grand commandant militaire pour la soumission des barbares ». Cette promotion inaugure le shogunat, système dans lequel l'empereur n'a plus qu'une autorité symbolique, l'aristocratie militaire exerçant la réalité du pouvoir. Cet événement reflète l'évolution […] Lire la suiteJAPON Arts et culture Les artsÉcrit par François BERTHIER, François CHASLIN, Nicolas FIÉVÉ, Anne GOSSOT, Chantal KOZYREFF, Hervé LE GOFF, Françoise LEVAILLANT, Daisy LION-GOLDSCHMIDT, Shiori NAKAMA, Madeleine PAUL-DAVID, Universalis • 56 170 mots • 35 médias Dans le chapitre "L'architecture privée des classes dominantes" … La ville ancienne est historiquement déterminée par l'institution, à la fin du vii e siècle, de l' État régi par les codes », ensemble de lois qui définissent l'organisation politique, sociale, économique et urbaine du pays. Celle-ci est animée par la volonté des souverains d'insister sur l'origine céleste de la dynastie afin d'en accroître le pouvoir et le prestige. L'exaltation de la figure d […] Lire la suiteJAPON Le territoire et les hommes HistoireÉcrit par Paul AKAMATSU, Vadime ELISSEEFF, Valérie NIQUET, Céline PAJON, Universalis • 44 405 mots • 51 médias Dans l'histoire de l'Asie, le Japon occupe une place particulière du fait de son insularité. On l'a souvent comparée à celle de l'Angleterre dans l'histoire de l'Europe. Mais cette similitude géographique ne doit pas masquer les dissemblances qui, de fait, ont donné au Japon l'élément essentiel de son originalité et le caractère spécifique de son évolution historique. L'Angleterre, face à l'Europe […] Lire la suiteKAMMU-TENNŌ 736-806 empereur du Japon 781-806Écrit par Francine HÉRAIL • 228 mots Né d'un petit-fils de Tenji-tennō, celui qui devait devenir Kammu-tennō commence sa vie fort éloigné du trône, mais l'épuisement de la descendance de Temmu-tennō permet à son père de devenir empereur en 770 avec l'aide des Fujiwara. Nommé prince héritier en 773, il succède à son père en 781. Son règne est marqué par des événements importants, mais il est difficile d'apprécier dans quelle mesure il […] Lire la suiteKAMPAKUÉcrit par Francine HÉRAIL • 580 mots Au Japon, la fonction d'empereur ne comporte pas de responsabilité directe, de possibilité de diriger les affaires et d'imposer une opinion personnelle l'empereur est celui que les bureaux mettent au courant, à qui ses conseillers présentent des décisions. Rivalités et conflits agitent ces conseillers la politique de la maison Fujiwara au ix e siècle a tendu à l'emporter sur les diverses fami […] Lire la suiteKOJIKIÉcrit par René SIEFFERT • 1 214 mots Dans le chapitre "La rédaction du Kojiki »" … S'il faut en croire la préface de l'ouvrage, un édit de l'empereur Temmu, l'an 10 de son règne 682 de l'ère chrétienne, proclamait Nous avons ouï dire que les chroniques des empereurs, aussi bien que les traditions que détiennent les clans, divergent de la droite vérité, que l'on y a rajouté de vaines faussetés. Que si, en ce temps présent, ces erreurs n'étaient redressées, avant que nombre […] Lire la suiteKŌKEN-TENNŌ 718-770 impératrice du Japon 749-758 et 764-770Écrit par Universalis • 229 mots Dernière impératrice à régner sur le Japon jusqu'au xvii e siècle, Kōken-tennō occupa le trône à deux reprises 749-758 et 764-770. Un certain nombre de femmes avaient gouverné avant elle, mais le pouvoir auquel accéda le moine bouddhiste Dōkyō sous son second règne amena les ministres à écarter par la suite toute femme de la succession au trône. Fille de l'empereur Shômu, née en 718 à Nara, K […] Lire la suiteKOSAKUÉcrit par Catherine CADOU • 578 mots Terme qui au Japon désigne un petit cultivateur. Si du point de vue juridique le kosaku est un fermier qui s'acquitte du loyer de sa terre par une redevance fixe, payée en nature, du point de vue social il peut être assimilé à un métayer, car le montant de sa dette a été, à certaines époques, particulièrement élevé. Le kosaku désigne d'une part un rouage du système agraire qui fut en vigueur au J […] Lire la suiteKYŌTOÉcrit par Nicolas FIÉVÉ, Raphaël LANGUILLON-AUSSEL • 4 699 mots • 2 médias Dans le chapitre "Heian-kyō, la grande capitale aristocratique de l'époque de Heian" … Si le centre historique de Kyōto est une agglomération qui s'est développée à partir du xvi e siècle, les origines du choix du site, le tracé en damier des avenues et les nombreux hauts lieux de la ville remontent à l'ancienne capitale Heian-kyō, la capitale de la Paix et de la Tranquillité », qui avait été fondée en 794 par l'empereur Kammu. Les raisons du transfert de la capitale Heijō-kyō […] Lire la suiteMINAMOTO NO YORITOMO 1147-1199Écrit par Francine HÉRAIL • 474 mots Le nom de Minamoto a été donné au Japon à des familles issues de princes impériaux réduits à l'état de simples sujets ; la branche de Yoritomo a, depuis la fin du x e siècle, occupé des charges militaires et provinciales et essaimé dans les provinces, notamment du Nord et de l'Est. En 1159, Yoshimoto, père de Yoritomo, est écrasé par son rival, Taira no Kiyomori, et Yoritomo est condamné à l'exil […] Lire la suiteMORSE EDWARD SYLVESTER 1838-1925Écrit par Madeleine PAUL-DAVID • 131 mots Zoologue et géologue américain, disciple du naturaliste suisse Louis Agassiz qui enseignait à Cambridge Massachusetts, Edward Sylvester Morse collabora à ses fouilles et à la découverte sur le littoral américain de nombreux kjökkenmödding . En 1877, il fut invité par l'université de Tōkyō pour faire des conférences sur la zoologie et la théorie de l'évolution. Sa découverte fortuite du kaizuka […] Lire la suiteNARA ÉPOQUE DE 710-794Écrit par Pascal BURESI • 216 mots En 710, le gouvernement impérial du Japon prend la décision de se fixer à Heijo-kyo actuelle Nara. Jusque-là, l'empire n'avait pas de capitale fixe. Le plan en damier de la ville s'inspire de celui de Chang'an, capitale chinoise de la dynastie des Tang. La période qui s'ouvre alors au Japon se caractérise par une forte influence chinoise dans les domaines politique, artistique et culturel. Comme […] Lire la suitePRÉSENTATION DU KOJIKI À LA COURÉcrit par François MACÉ • 187 mots Selon sa Préface, le Kojiki Récit des temps anciens fut offert en 712 à l'impératrice Gemmyō 661-721. Il rapporte les événements fondateurs du Japon et de sa dynastie depuis le temps des dieux dans un récit continu fortement marqué par la pensée mythique. Rédigé en parallèle avec le Nihon shoki achevé en 720, il ne fera l'objet d'aucun commentaire ni citation avant le xiii e siècle. Les d […] Lire la suiteSAMURAI ou SAMOURAÏÉcrit par Paul AKAMATSU • 364 mots • 1 média Guerriers du Japon ancien . En vieux japonais, les hommes d'armes étaient appelés mononofu . Après la réorganisation du pouvoir impérial sur les modèles continentaux, apparaît, au plus tard au viii e siècle, le mot bushi , d'origine chinoise, pour désigner les fonctionnaires militaires. À partir de cette époque, des groupes de bushi se forment partout au Japon, rassemblant soit des fonctionnaire […] Lire la suiteSCIENCES SOCIALES PRÉHISTOIRE DESÉcrit par Bernard-Pierre LÉCUYER • 17 521 mots • 1 média Dans le chapitre "L'Inde et le Japon jusqu'aux Tokugawa" … Ce panorama de la comptabilité sociale dans les empires asiatiques ne serait pas complet sans l'Inde, et d'abord le Japon, dont le premier recensement avéré date de 86 avant À cette date, un registre permettait de suivre les mouvements de la population. Par la suite, certaines analogies avec la Chine permettent de marquer quelques points de repère. Au début du vii e siècle de notre ère, en […] Lire la suiteSHINTŌÉcrit par René SIEFFERT • 6 546 mots • 4 médias Dans le chapitre "Shintō et bouddhisme" … On notera que, jusque-là, nous avons utilisé le terme de shintō pour désigner non pas un système religieux organisé, une religion » au sens occidental, mais simplement un ensemble de croyances et de pratiques relatives aux kami . Telle est, en effet, la signification réelle d'un vocable qui, jusqu'au xix e siècle, n'était jamais employé que par référence au bouddhisme. Cela est vrai dès sa pre […] Lire la suiteSHŌENÉcrit par Francine HÉRAIL • 766 mots Au Japon, domaine jouissant d'une exemption fiscale, totale ou partielle. Dès le ix e siècle, temples et grands ne cessent de solliciter des exemptions auprès du ministère des Affaires suprêmes, notamment pour les terres qu'ils font défricher et qui, selon la loi, ne font pas partie des rizières sujettes à redistribution périodique. Ces exemptions concernent d'abord la taxe en riz, la moins lourd […] Lire la suiteSHŌGUNÉcrit par Paul AKAMATSU • 879 mots Abréviation du nom d'une ancienne fonction impériale du Japon, qui devait se dire, en entier, seiitaishōgun , grand commandant militaire pour la soumission des barbares ». La fonction de shōgun fut créée à titre temporaire, sans doute pour la première fois en 794, en vue de la conquête des territoires du nord de Honshū, dont les habitants n'étaient pas encore soumis au pouvoir impérial. Puis el […] Lire la suiteSHŌMU-TENNŌ 699-756 empereur du Japon 724-749Écrit par Universalis • 373 mots Empereur du Japon 724-749, né en 699 à Yamato, près de Nara, mort le 21 juin 756 à Nara. Obito monte sur le trône sous le nom de règne de Shōmu-tennō En 729, son épouse, membre de la puissante famille Fujiwara, est déclarée impératrice, faisant voler en éclat l'ancienne règle voulant que toutes les impératrices consorts soient des princesses de sang. Shōmu et son épouse sont tous deux de ferve […] Lire la suiteSHŌTOKU-TAISHI 573 par Francine HÉRAIL • 618 mots Fils de l'empereur Yōmei, Shōtoku-taishi naît en un temps où la cour de Yamato, qui a fait reconnaître sa suprématie sur le pays qui devait prendre le nom de Nihon [pays] d'où vient le soleil », est agitée par les querelles des grandes familles. En 587, quand les Soga éliminent les Mononobe et les Nakatomi qui se sont posés, dit-on, en adversaires du bouddhisme mais qui étaient leurs rivaux, l […] Lire la suiteSUGAWARA NO MICHIZANE 845-903Écrit par Francine HÉRAIL • 241 mots Homme politique et lettré japonais, appartenant à une famille de fonctionnaires lettrés de rang moyen. Dans sa jeunesse, Michizane passe brillamment tous les examens officiels et obtient dès 877 le poste de docteur ès lettres. En cette qualité, il commente les classiques chinois devant l'empereur Uda qui lui accorde sa faveur, sans doute pour faire pièce aux Fujiwara dont la puissance ne cesse de […] Lire la suiteTAIKA RÉFORME DE 645Écrit par Francine HÉRAIL • 662 mots La cour de Yamato, durant des siècles obscurs, a fait l'unité du Japon, c'est-à-dire que les puissantes familles locales ont reconnu la supériorité des souverains installés dans le bassin de Nara et ses environs, ancêtres de la maison impériale. La revendication d'une origine divine, l'ordre de la grande déesse Amaterasu, l'utilisation d'un personnel d'immigrés coréens aptes à transmettre les arts […] Lire la suiteTAIRA NO KIYOMORI 1118-1181Écrit par Francine HÉRAIL • 389 mots Appartenant à une famille dont certains membres sont restés à la cour, investis de charges militaires ou de gouvernements provinciaux, tandis que d'autres se sont installés dans les provinces, souvent en qualité d'officiers domaniaux de statut guerrier, Taira no Kiyomori succède en 1153 à son père. Celui-ci avait rendu des services aux empereurs retirés, et s'était ainsi attiré leur faveur, à une […] Lire la suiteTATOUAGEÉcrit par Catherine GROGNARD, Dominique PAQUET • 6 798 mots Dans le chapitre "Art de l'Orient extrême" … Au Japon, le tatouage connaît à la fois un sens anthropologique et social. Un texte chinois Chroniques des Wei 350 après fait mention de barbares de l'est » portant des tatouages sur le visage et les corps. Dans la culture Yahoi 300 av. 300 apr. de l'ancien Japon, les autochtones portent des tatouages indiquant leur rang. Le tatouage semble avoir été diffusé à partir du […] Lire la suiteTENJI-TENNŌ 626-671 empereur du Japon 661-671Écrit par Francine HÉRAIL • 438 mots Le prince Nakanoōe futur empereur Tenji, ou Tenchi, fils de l'empereur Jomei règne 629-641 et d'une princesse impériale qui a régné à la suite de son époux sous le nom de Kōgyoku-tennō règne 642-645, est, avec Nakatomi no Kamatari, l'ancêtre de la maison Fujiwara, l'auteur du coup d'État qui aboutit à l'élimination des Soga, accusés à mots couverts d'avoir envisagé une usurpation. Cependant, […] Lire la suiteTŌHOKUÉcrit par Raphaël LANGUILLON-AUSSEL • 1 032 mots • 1 média Avec 66 912 kilomètres carrés, le Tōhoku, aussi appelé Ōu ou encore Michinoku, est la deuxième région la plus vaste du Japon après Hokkaidō. Signifiant simplement Nord-Est », elle se situe à l'extrémité nord de l'île de Honshū, la plus importante du pays. Elle est composée de cinq départements plutôt ruraux – Fukushima, Yamagata, Iwate, Akita et Aomori – et d'un département plus urbain – Miyagi […] Lire la suiteUMCHARA SUEJI 1893-1982Écrit par Universalis • 71 mots Né près d'Ōsaka, Umchara Sueji contribua en 1914 au classement des collections archéologiques de l'université de Kyōto. En 1921, il fut chargé des fouilles par le gouvernement général de Corée. De 1925 à 1929, il voyagea en Europe et aux États-Unis. Docteur en 1939 de l'université de Kyōto pour son étude sur l'Âge du bronze en Chine, dont il est l'un des plus célèbres spécialistes. […] Lire la suiteVOYAGE DE SAICHŌ ET KŪKAI EN CHINEÉcrit par François MACÉ • 186 mots Depuis l'introduction du bouddhisme au vi e siècle, les Japonais ne cessèrent d'accueillir des moines du continent, mais aussi de se rendre en Chine. Profitant d'une ambassade en 804, deux moines partirent pour étudier dans la Chine des Tang. Saichō 767-822 séjourna au mont Tiantai où il reçut la transmission de l'enseignement de cette école. De retour au Japon, il s'installa sur le mont Hiei, […] Lire la suitePréciser avec l'index11 articlesMARCHÉS À TERME1 articleÀ L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVÉ LA VIE, Hervé Guibert12 articlesA PRIORI CONNAISSANCE5 articlesA CAPPELLA, musique7 articlesMARCHÉS DE DROITS À POLLUER8 articlesVITAMINE A4 articlesSAGITTARIUS A*2 articlesHÉPATITE A1 articleCONCANAVALINE A1 articleMOTEURS PAS À PAS1 articleBISPHÉNOL A9 articlesMARCHÉ À OPTIONS3 articlesÀ REBOURS, Joris-Karl Huysmans23 articlesPRÊT-À-PORTER2 articlesPOINTE-À-PITRE1 articleHERBE-À-ROBERT1 articleBOUCHE-À-BOUCHE2 articlesCARTE À PUCE ou CARTE À MÉMOIRE1 articleCHAMBRE À STREAMERS ou CHAMBRE À DARDS3 articlesCOENZYME A CoA1 articleLINÉAIRE A, écriture1 articleDOMINIQUE A 1968- 1 articleA TRIBE CALLED QUEST1 articlePORTE-À-FAUX, architecture44 articlesMALADIES À VECTEURS36 articlesQUATUOR À CORDES28 articlesMACHINE À VAPEUR24 articlesCANNE À SUCRE22 articlesÉTOILES À NEUTRONS13 articlesCHASSE À LA BALEINE12 articlesMOULIN À EAU12 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D'OUVERTURE ou articlesMICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À BALAYAGE EN TRANSMISSION2 articlesAMPLIFICATION D'IMPULSION À DÉRIVE DE FRÉQUENCE1 articleMICROSCOPIE IONIQUE À EFFET DE CHAMP1 articleSPECTROPHOTOMÈTRE INFRAROUGE À TRANSFORMÉE DE FOURIER1 articleRÉACTEURS NUCLÉAIRES À SELS FONDUS1 articleENFANTS À HAUT POTENTIEL INTELLECTUEL2 articlesMAÎTRES À L'ŒILLET fin XVe-déb. XVIe s.2 articlesLE DERNIER TANGO À PARIS, Bernardo Bertolucci2 articlesCUBIQUE À FACES CENTRÉES RÉSEAU1 articleMON CŒUR MIS À NU, Charles Baudelaire1 articleSCENES FROM A MARRIAGE, série télévisée4 articlesDÉGÉNÉRESCENCE MACULAIRE LIÉE À L'ÂGE articleBONS À MOYEN TERME NÉGOCIABLES articleEULER-POINSOT MOUVEMENT ou MOUVEMENT À LA POINSOT5 articlesITINÉRAIRE DE PARIS À JÉRUSALEM, François René de Chateaubriand3 articlesPROLÉGOMÈNES À UNE THÉORIE DU LANGAGE, Louis Trolle Hjelmslev1 articleLA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS, Herbert-George Wells1 articlePOÈTE À NEW YORK, Federico García Lorca1 articleINTRODUCTION À L'ŒUVRE SUR LE KAVI, Wilhelm von Humboldt1 articleLETTRE À D'ALEMBERT SUR LES SPECTACLES, Jean-Jacques Rousseau62 articlesVENT INSTRUMENTS À10 articlesHUILE PEINTURE À L'3 articlesTHOMAS A KEMPIS THOMAS HEMERKEN dit 1379 articlesCALCULER MACHINES À4 articlesENCAUSTIQUE PEINTURE À L'4 articlesCROÛTES SOLS À3 articlesTIMOTHÉE ÉPÎTRES À3 articlesVITRE VERRE À2 articlesCHENILLES MATÉRIEL À2 articlesINERTIE CENTRALE À2 articlesPHILÉMON ÉPÎTRE À2 articlesTITE ÉPÎTRE À2 articlesINFINI RÉGRESSION À L'2 articlesAVALANCHE DIODE À1 articleSOBOLEVA P. articleÉCHO BOÎTE À1 articleMERCURE ÉLECTRODE À1 articleARC PROCÉDÉ À L'1 articleIMMERSION OBJECTIF À1 articleHYDROGÈNE CHALUMEAU À1 articlePSEUDOGLEY SOLS À1 articlePOINSOT MOUVEMENT À LA7 articlesRADIO-INTERFÉROMÉTRIE À LONGUE BASE ou articlesMUTATIONS DYNAMIQUES ou MALADIES À EXPANSION DE TRIPLETS1 articleAUTOMOBILE ou VOITURE À QUATRE ROUES MOTRICES1 articleCHROMATOGRAPHIE DE PARTAGE À POLARITÉ DE PHASES INVERSÉE1 articleCOMMISSION À L'ÉNERGIE ATOMIQUE DES NATIONS UNIES1 articleAUTOMOBILE ou VOITURE À QUATRE ROUES DIRECTRICES6 Délégation à l'aménagement du territoire et à l'action régionale3 articlesMATIF Marché à terme d'instruments financiers, puis Marché à terme international de France214 articlesPHILOSOPHIE, de 1950 à nos jours210 articlesROME, des origines à la République1 Synthetic Aperture Radar RADAR À SYNTHÈSE D'OUVERTURE132 articlesPHILOSOPHIE, de 1900 à 19506 articlesAKERLOF GEORGE A. 1940- 4 articlesVARENNES FUITE À 17912 articlesURANIUM APPAUVRI ARMES À2 articlesCORNELL ERIC A. 1961- 2 articlesDOUDNA JENNIFER A. 1964- 1 articleCONTRE-COURANT SYSTÈME À1 articleZADEH LOTFI A. 1921- 1 articleCREUX PERDU MOULE À1 articleBON CREUX MOULE À1 articleREPLATS-GOLETZ VERSANT À1 articleFACES CENTRÉES RÉSEAUX À1 articleDOUBLE FOYER VERRES À1 articleSHELDON ROGER A. 1942- 1 articleCIEL OUVERT MINES À1 articleTIBERGHIEN GILLES A. 1953- 1 articleLYNN JOHN A. 1943- 4 articlesSCÉNOGRAPHIE, de Palladio à Appia3 articlesPPNA Prepottery Neolithic A1 articleAPL A Programming Language1 articleSaaS Software as a Service1 articleDaaS Data as a Service1 articlePaaS Platform as a Service1 articleIaaS Infrastructure as a Service2 articlesABRAHAM A SANCTA CLARA JOHANN ULRICH MEGERLE dit 1644-170919 articlesMYSTÈRES RELIGIONS DITES À2 articlesWARTBURG GUERRE DES CHANTEURS À LA2 articlesGARGAMELLE CHAMBRE À BULLES2 articlesOSEBERG TOMBE À NAVIRE D'1 articleMERCURE CELLULES À CATHODE DE1 articleLEWY DÉMENCE À CORPS DE3 articlesL'ŒUVRE D'ART À L'ÉPOQUE DE SA REPRODUCTION MÉCANISÉE, Walter Benjamin11 articlesRÉACTEUR À EAU PRESSURISÉE ou pressurised water reactor2 articlesRÉACTEUR À EAU BOUILLANTE ou boiling water reactor1 articleEUROPEAN XFEL laser européen à électrons libres et à rayons X1 articleMICROSCOPIE À DÉPLÉTION PAR ÉMISSION STIMULÉE ou STED stimulated emission depletion1 articleTRAITÉ DE L'HARMONIE RÉDUITE À SES PRINCIPES NATURELS, Jean-Philippe Rameau248 articlesFRANCE, histoire, de 1974 à nos jours244 articlesFRANCE, histoire, de 1789 à 1815244 articlesFRANCE, histoire, de 1939 à 1958204 articlesALLEMAGNE, histoire, de 1806 à 194510 articlesAFRIQUE-ÉQUATORIALE FRANÇAISE articleLIBRES ENFANTS DE SUMMERHILL, A. S. Neill170 articlesFRANCE, histoire, de 1871 à 19397 articlesMUNDELL ROBERT A. 1932-20214 articlesEFFET DE CHAMP TRANSISTOR À articlesEULER MÉTHODE DU PAS À PAS D', analyse numérique3 articlesWAKSMAN SELMAN A. 1888-19733 articlesDIAGNE BLAISE A. 1872-19342 articlesHĀLĪ A. H. 1837-19142 articlesNAISMITH JAMES A. 1861-19391 articlePENCK A. R. 1939-20171 articleWEIKARD MELCHIOR A. 1742-1803144 articlesFRANCE, histoire, de 1958 à 1974141 articlesRUSSIE, histoire, de 1801 à 1917137 articlesRUSSIE, histoire, des origines à 1801110 articlesCHINE, histoire, de 1949 à nos jours110 articlesFRANCE, histoire, de 1815 à 1871104 articlesITALIE, histoire, de 476 à 14942 articlesADMINISTRATIVE BEHAVIOR, Herbert A. Simon2 articlesSOCIODYNAMIQUE DE LA CULTURE, Abraham A. Moles1 articleJETABLE ou PàP prêt à photographier174 articlesFRANCE, histoire, du XVIe s. à 171591 articlesFRANCE, histoire, de 1715 à 178973 articlesITALIE, histoire, de 1870 à 194557 articlesINDE, histoire de 1947 à nos jours51 articlesESPAGNE, histoire, de 1900 à nos jours50 articlesITALIE, histoire, de 1945 à nos jours48 articlesGRÈCE, histoire, de 1830 à nos jours47 articlesITALIE, histoire, de 1494 à 178944 articlesPERSE, histoire de 651 à 150141 articlesÉGYPTE, histoire, de 1952 à nos jours40 articlesJAPON, histoire, des origines à 119239 articlesITALIE, histoire, de 1789 à 187038 articlesÉGYPTE, histoire de 1805 à 195237 articlesPOLOGNE, histoire, de 1914 à 194537 articlesPOLOGNE, histoire, de 1945 à nos jours36 articlesBELGIQUE, histoire, de 1945 à nos jours36 articlesPERSE, histoire de 1501 à 192535 articlesJAPON, histoire, de 1946 à nos jours34 articlesPOLOGNE, histoire, de 1500 à 176334 articlesSYRIE, histoire, de 1941 à nos jours33 articlesBELGIQUE, histoire, de 1830 à 194533 articlesMEXIQUE, histoire, de 1910 à nos jours33 articlesPOLOGNE, histoire, de 1764 à 19146 taxe à la valeur ajoutée17 articlesASSISTANCE MÉDICALE À LA PROCRÉATION AMP ou PROCRÉATION MÉDICALEMENT ASSISTÉE PMA4 ligne à grande vitesse29 articlesÉGYPTE, histoire de 639 à 180529 articlesHONGRIE, histoire, de 1945 à nos jours3 société à responsabilité limitée3 articlesSECAM séquentiel couleur à mémoire28 articlesBRÉSIL, histoire, de 1950 à nos jours2 zone à urbaniser en priorité26 articlesMEXIQUE, histoire, de la conquête à la révolution24 articlesBELGIQUE, histoire, des origines à 183024 articlesIRAN, histoire de 1925 à 197924 articlesJAPON, histoire, de 1192 à 160323 articlesITALIE, histoire, des origines à 47622 articlesMAROC, histoire, de 1956 à nos jours3 articlesAVIONS À DÉCOLLAGE & ATTERRISSAGE VERTICAUX ou vertical take off and landing2 articlesÉLECTRONS BIDIMENSIONNELS TRANSISTORS À GAZ D'18 articlesCANADA, histoire, de 1968 à nos jours2 articlesLE MERVEILLEUX VOYAGE DE NILS HOLGERSSON À TRAVERS LA SUÈDE, Selma Lagerlöf2 articlesART ET HUMANISME À FLORENCE AU TEMPS DE LAURENT LE MAGNIFIQUE, André Chastel13 articlesGRÈCE, histoire, jusqu'à l'indépendance 183012 articlesAUTRICHE, histoire, de 1945 à nos jours15 articlesVILLA, architecture du XVIIIe s. à nos jours206 articlesPEINTURE DU XXe SIÈCLE, de 1900 à 19393 articlesHISTOIRE MONDIALE DE LA SPÉCULATION FINANCIÈRE, DE 1700 À NOS JOURS, Charles P. Kindleberger1 articleLETTRES À MIRANDA SUR LE DÉPLACEMENT DES MONUMENTS DE L'ART DE L'ITALIE, Antoine Quatremère de Quincy171 articlesÉGLISE HISTOIRE DE L', du concile de Trente à nos jours3 articlesLA NUIT DES MORTS-VIVANTS, George A. Romero101 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1945 à nos jours95 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1914 à 194595 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1801 à 191494 articlesAFRIQUE NOIRE, histoire, des indépendances à nos jours93 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1914 à 194591 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1801 à 191489 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1945 à nos jours57 articlesPAROLE POUVOIRS DE LA, de l'Antiquité à l'âge classique48 articlesPAYS-BAS, histoire, de 1579 à 18302 articlesLOMBARD STREET A DESCRIPTION OF THE MONEY MARKET, Walter Bagehot32 articlesPAYS-BAS, histoire, des origines à 15792 articlesBORGOÑA JUAN DE actif de 1494 à 15362 articlesJEAN DE ROUEN actif de 1510 à 15721 articleAFONSO JORGE actif de 1508 à 15401 articleFROMENT NICOLAS connu de 1461 à 14861 articleMEMMI LIPPO connu de 1317 à 13471 articleWYDITZ HANS actif de 1497 à 15161 articleYSELIN HEINRICH actif de 1478 à 15131 articleBENNET JOHN actif de 1599 à 16141 articleJONES ROBERT actif de 1597 à 16151 articleARRUDA DIOGO actif de 1508 à 153127 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1945 à nos jours24 articlesPAYS-BAS, histoire, de 1830 à nos jours23 articlesPAYS-BAS PEINTURE DES, du XVIIIe s. à nos jours20 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1880 à 19451 articleRUNCIE ROBERT A. K. 1921-20001 articleLOUIS PIERRE CHARLES A. 1787-1872103 articlesALLEMAGNE, histoire, du Moyen Âge à 1806103 articlesFRANÇAISE PEINTURE, XXe s. de 1900 à 193917 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1440 à 188088 articlesJAPON, histoire, de l'ère Meiji à 19463 réseau numérique à intégration de services1 articleSICAV Société d'investissement à capital variable1 autorisations d'usage à des fins thérapeutiques1 articlePRADO Programme d'accompagnement du retour à domicile1 articleANTARES, télescope sous-marin à neutrinos285 articlesPEINTURE DU XXe ET DU DÉBUT DU XXIeSIÈCLE, de 1939 à nos jours271 articlesÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, de 1945 à nos jours4 articlesSVEN ou SVEND À LA BARBE FOURCHUE 960 roi de Danemark 986-1014 et d'Angleterre 1013-1014137 articlesÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, de 1865 à 19452 articlesLA NOUVELLE JUSTINE, OU LES MALHEURS DE LA VERTU, D. A. F. de Sade107 articlesÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, des origines à 18654 articlesARNAUD ou ARNAUT DANIEL actif de 1180 à 12001 articleELY REGINALD ou REYNOLD actif de 1438 à 14712 articlesCHANTEREINE NICOLAS activité connue de 1517 à 15371 articleKHĀZINĪ AL- actif de 1115 à 1121 env.9 articlesCEA Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives71 articlesCHINE, histoire l'Empire, des Yuan à la Révolution de 191167 articlesCHINE, histoire de la Révolution de 1911 à la République populaire39 articlesINDE, histoire du XIIIe s. à la conquête britannique 175777 articlesALLEMAGNE RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D' RFA, histoire, de 1945 à 19893 articlesPATENIER ou PATINIR JOACHIM 1475 à 1480 Système d'imagerie gamma à masque aléatoire, télescope1 articleMARSYAS PEINTRE DE milieu à 3e quart IVe s. av. articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, le Moyen Âge de 1066 à 1485149 articlesFRANÇAISE PEINTURE, XXe et début du XXIe s. de 1939 à nos jours2 articlesCEPMMT Centre européen de prévision météorologique à moyen terme27 articlesCHINE, histoire des origines à la fondation de l'Empire 221 av. articlesHENNEQUIN, JEAN DE BRUGES ou JEAN DE BONDOL actif de 1368 à 13811 articleMICROSCOPE MICRO-Satellite à traînée Compensée pour l'Observation du Principe d'Équivalence1 articleCREDIT RATIONING IN MARKETS WITH IMPERFECT INFORMATION, J. Stiglitz et A. Weiss3 articlesTHE MARKET FOR LEMONS QUALITY UNCERTAINTY AND THE MARKET MECHANISM, George A. Akerlof4 articlesIgA5 União nacional para a independência total de Angola ou Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola TmZFG3z.
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